Le Grand Galibier
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VALLOIRE

Le Grand Galibier

Lac et glacier
Point de vue
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Il faut le savoir, un sommet comme le Galibier se mérite ! Il faut donc atteindre le pic du Galibier à pied, avec la sensation que chaque mètre franchi, c’est un pas de plus vers la récompense. On ne sera pas déçu du voyage et au moins, là-haut, on sera seul au monde...ou presque ! 

Randonnée magistrale à ne mettre que sous des pieds aguerris. A 3228m d’altitude, le point de vue sur les Alpes ne peut être que grandiose !


Description

Depuis Plan Lachat, emprunter la piste jusqu'aux Mottets. A partir de  ce point, prendre au Sud-Est le bon sentier qui conduit au lac des Cerces (alt. 2410m). Continuer, plein Sud, sur le GR 57 qui mène au col de la Ponsonnière (2613m). Continuer ensuite, plein Ouest, la crête de la Ponsonnière qui passe au-dessus le lac Blanc et sous le Roc Termier.

 

On arrive au col et au lac Termier. Du col, remonter au Nord-Ouest la combe en direction du sommet. On passe sous le Sommet Est et à la brèche, où aboutit le raide couloir de la Clapière. Par quelques vires et rochers on atteint le Sommet Ouest, point culminant qui offre un panorama sensationnel sur les Ecrins, La Vanoise, le mont Blanc et beaucoup d’autres massifs.

  • Départ : Valloire, Plan Lachat
  • Arrivée : Le Grand Galibier
  • Communes traversées : VALLOIRE

Profil altimétrique


Accès routiers et parkings

Autoroute 43 ou Route Nationale 6 jusqu'à Saint Michel de Maurienne puis D909 en direction de Valloire et du col du Galibier. 

Traverser Valloire et continuer en direction du col du Galibier jusqu'à Plan Lachat.

Stationnement :

Parking Plan Lachat

1 patrimoine à découvrir

  • Archéologie

    Pierre de la Jargette

    Située en contrebas de la route vers le chalet de la Jargette, la fameuse pierre est isolée au milieu d’un pré.

    Ce gros bloc erratique large de 2 mètres, légèrement incliné vers l’aval, a la particularité d’être gravé. Cette gravure, en forme d’arceau ou de fer à cheval, aurait été gravée à l’âge du cuivre (2000 à 2500 ans av J.C.)

     

    Sa présence ici est sans doute en rapport avec l’ancienne voie de communication entre Valloire et le Briançonnais ; cela tend à prouver que Valloire était occupé par des groupements humains depuis fort longtemps.