Du barrage de Bissorte au lac des Bataillères, paradis halieutique en Vanoise
>>
Accueil
>
A pied
>
Du barrage de Bissorte au lac des Bataillères, paradis halieutique en Vanoise
ORELLE

Du barrage de Bissorte au lac des Bataillères, paradis halieutique en Vanoise

Lac et glacier
Pastoralisme
Refuge
Embarquer cet élément afin d'y avoir accès hors connexion
L'itinéraire longe l'impressionnant barrage de Bissorte et son lac éponyme, avant de vous faire conduire au petit lac sauvage des Bataillères.
Situés à 2082 mètres d'altitude et construits en 1935, le barrage de Bissorte et sa retenue constituent un impressionnant ouvrage hydroélectrique qui mérite le coup d'œil. Plus loin, plongé dans une ambiance pastorale, le lac des Bataillères revêt un caractère plus confidentiel. Planté dans un décor sublime, il regorge de truites et saumons de fontaine. 

Description

Du parking, emprunter un large chemin fléché à travers la forêt qui conduit au barrage de Bissorte. Longer le lac jusqu'au refuge des Marches. Continuer le sentier pour atteindre, environ 1 heure plus tard, le lac des Bataillères. Le retour se fait par le même itinéraire ou par l'autre rive du lac.
  • Départ : La Praz (entre Orelle et Modane), Parking Le Prec
  • Arrivée : Lac des Bataillères
  • Communes traversées : ORELLE

Profil altimétrique

Accès routiers et parkings

Autoroute 43 ou route nationale 1006.  L'accès se fait depuis la piste qui part de la Praz, derrière la centrale EDF le long de la RD1006 entre Orelle et Modane.
Monter la piste forestière jusqu’au parking du Prec.



Stationnement :

Parking du Prec

1 patrimoine à découvrir

  • Géologie

    La mine des Sarrasins

    La mine des Sarrasins est perchée entre 2800m et 2900m sur le versant Est de la vallée de Chamaix, elle était exploitée du milieu du 17ème siècle au 19ème siècle. Elle était principalement composée de plomb-cuivre à forte teneur d’argent. La composition des minerais était de 70% à 75%  de plomb et de cuivre, de fer et d’argent. L’exploitation de cuivre fût abandonnée pour l’argent.

     

    Durant son exploitation 21 personnes travaillaient là-bas, été comme hiver. Une tranchée partait directement de la pièce principale jusqu’à la mine. Les mineurs vivaient en permanence dans l’obscurité. Lorsque, vous vous promenez sur le versant, les voies pour les mulets sont encore visibles. Celles-ci permettaient d’acheminer le minerai jusqu’au Lavoir et puis à la fonderie à Fourneaux.